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 Tunisie-Espagne — Jour J-1

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Mongi
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Tunisie-Espagne — Jour J-1 Empty
MessageSujet: Tunisie-Espagne — Jour J-1   Tunisie-Espagne — Jour J-1 EmptyDim 18 Juin à 10:57

Dernière minute

Ghodhbane d’entrée, Namouchi dans le doute

La formation qu’alignera Lemerre demain face à l’Espagne sera la suivante : Boumnijel dans les bois, Trabelsi, Ayari, Jaïdi, Yahia en défense, Mnari, Bouazizi, Nafti ou (Namouchi souffrant d’ampoules aux pieds), Chédly et Ghodhbane au milieu, alors que Jaziri évoluera seul en pointe.


J.M. (La Presse)

Un axe à trois, c’est très possible
De notre envoyé spécial Jallel MESTIRI


Lemerre va revoir ses choix. Tout indique que Jemmali renforcera l’axe central aux côtés de Jaïdi et Hagui, alors que Ayari sera aligné sur le flanc gauche.
Dans ce cas, Jaziri sera le seul attaquant.

David Jemmali retrouverait sa place de prédilection à l’axe central aux côtés de Hagui et Jaïdi. Il évoluera derrière le quatuor de l’entrejeu. Chikhaoui serait alors sacrifié et Jaziri serait l’unique attaquant. (Photo A. BELAID envoyé spécial de La Presse)



Le schéma idéal pour une équipe de Tunisie, qui veut aujourd’hui forcer son destin, tend à se matérialiser à travers une prise de conscience et une remise en cause plus que jamais inévitable. C’est une sorte de montée en puissance à laquelle on aspire. Avec quels moyens ? Avec quels arguments ? On ne sait pas trop. Mais les idées, les convictions ne manquent pas. L’envie et la détermination assurément aussi, on la sent, on la voit aujourd’hui prête à tout. A se battre au fleuret ou à brandir la «hache» s’il le faut. Elle paraît même décidée à ne rien lâcher, à ne pas laisser son adversaire réciter son football.
Faut-il la croire ? Nous le verrons bien. Mais en attendant, l’on sait qu’avec sa rouerie et ses jaillissements, elle peut avoir une sérieuse chance pour mettre sa main sur le match. Bien sûr à sa façon et conformément aux dispositions de ses joueurs.
Mais avec un véritable esprit de détermination et de surpassement. Dans sa vocation de chasseur embusqué, elle garde toujours la force de réagir. Le doigt sur la détente, elle peut guetter le moment opportun dans sa confrontation face à l’Espagne. Elle attendra son heure.
Elle se veut patiente et réaliste, car elle sait que ce genre de match impose un mode de fonctionnement particulier. Un comportement spécial.
Qui ne craint pas l’Espagne? Surtout après ce qu’elle a laissé entrevoir lors du premier match face à l’Ukraine.
Un adversaire redoutable ? Oui, mais pas seulement pour la Tunisie. Alors autant aborder ce match avec, pourquoi ne pas le dire, calculs. L’équipe de Tunisie a besoin de composer. Ça ne peut pas être un tort et il faudrait prendre les choses comme le contexte les impose. Dans l’architecture générale d’un match comme celui de demain, une simple pièce manquante peut faire écrouler tout un édifice. Sportivement parlant, la sélection serait amenée à laisser venir son adversaire, à orienter son jeu sur les passes rapides et les contres et surtout à ne pas se découvrir face à un adversaire auquel il ne faudrait rien laisser filtrer.
La légitimité de l’équipe de Tunisie dans ce match, c’est sur le terrain qu’elle ira la chercher. L’arracher. Elle ne veut pas justement se faire accuser par la suite de ne pas s’être battue. Ça sera justement la plus sévère accusation qui puisse accompagner le parcours d’un petit soldat du sport.

Ça viendra quand ça viendra…

Mais en même temps, personne n’a encore décrété qu’il faudrait être vraiment un «grand» du monde pour battre l’Espagne. Le football a et aurait certainement toujours besoin de grands évènements médiatiques pour que l’on puisse entretenir la passion et que, de temps en temps, un «petit» désosse un grand. Nous savons certes que le monde d’en haut continue à regarder le monde d’en bas d’une certaine façon. Mais il devrait un jour ou l’autre redouter de perdre sa suprématie. Ça viendra quand ça viendra, mais ce n’est jamais exclu. En effet, plus les équipes du monde d’en bas se mettent en marche et plus elles avancent. Comme le confirme d’ailleurs leur tableau de marche. La Tunisie peut-elle un jour faire partie de ces équipes? On ne saurait le dire. Mais on sait cependant qu’elle affiche la plus grande volonté et lorsqu’elle se montre efficace, elle ne manque pas de s’identifier à un état d’esprit qui lui va bien au teint. Elle a des fois avoué des faiblesses, mais elle semble toujours prête à redresser la barre et à se faire une raison autre que celle du premier match. Elle a besoin aujourd’hui de se racheter, mais surtout de se faire aimer. Une condition s’impose toutefois dans cet ordre d’idée: il faut justement qu’elle réussisse un grand coup qui ferait chavirer tout le monde. Elle semble d’ailleurs prête à tout faire pour ne pas devenir une équipe pressée de remettre le couvert. Pressée et incapable!
Dans ces circonstances, on ne part jamais trop tôt ni très en retard. On verra demain ce que les joueurs ont encore dans le ventre et si le fait de se lever à l’aube leur permet d’arriver avant la nuit.
Y aura-t-il des dispositions particulières sur le plan tactique ou encore au niveau du choix des joueurs qui composeront l’équipe type. Les changements après le premier match sont devenus aussi nécessaires que déterminants. Mais attention, il ne s’agit pas de changer pour changer. Mais plutôt dans le but de procurer à l’équipe un meilleur équilibre et pour que celle-ci puisse aussi retrouver ses repères et surtout son jeu.
D’un autre côté, le match de demain et la nature de l’adversaire imposent à l’équipe une disposition particulière, la sélection évoluera, en effet, du moins d’après ce que l’on a pu obtenir comme information, avec un seul attaquant de pointe et qui ne peut être sans aucun doute que Jaziri. Cela veut dire que le jeune Chikhaoui ne sera pas utilisé dans cette rencontre.
Autre hypothèse concernant l’attaque, Guemamdia pourrait faire son entrée en cours de jeu. Cela dépendra de la physionomie du match et des nécessités qui en découlent…
Un attaquant donc de moins, mais un milieu de plus. Les joueurs qui évoluent dans ce compartiment, on les connaît, mais il importe de savoir qui débuteront d’entrée?
Enfin, un autre changement. Mais celui-là est plus qu’évident : Ayari retrouvera sa place sur le flanc gauche de la défense. Surtout pour combler certaines défaillances apparues lors de la titularisation de Jemmali à ce poste.
Des changements, il en faut certainement. Mais Lemerre pense que ça ne doit pas être gratuit. Chaque chose répond à une exigence plus qu’à une simple option.
Mais au fait, quels que soient les noms, et indépendamment des considérations tactiques, toute l’équipe est aujourd’hui concernée par la même cause. Le même objectif…

J.M.(La Presse)

Point de presse du sélectionneur national

«Opposition de styles»
De notre envoyé spécial Hassen MZOUGHI

Pour le selectionneur national, l’Espagne a l’adresse mais la Tunisie a la force.


Lors de la conférence de presse organisée hier au centre média du stade d’entraînement de l’équipe par le sponsor officiel de la sélection nationale, sous l’égide de la FTF, le sélectionneur national a affirmé que la première priorité de la Tunisie est d’avoir «la motivation suffisante pour aller au combat. On ne doit pas douter pour aller gêner les Espagnols. Cela se fait collectivement sinon on ne pourra pas réaliser un bon match».

Il est vrai que le résultat face aux Saoudiens place la barre très haut pour la Tunisie, «mais je n’ai pas de doute. Eux ils ont Xavi, Senna, Torres , nous nous avons Nafti, Jaziri, Bouazizi, Hagui. Ce sera une opposition de styles: l’adresse des Espagnols contre la force de notre équipe.On essayera de les battre sur nos valeurs au niveau de la présence, de la motivation et du collectif», conclut Lemerre.



Départ ce matin à 9h45 pour Stuttgart



L’équipe de Tunisie arrivera aujourd’hui à midi par avion à Stuttgart. Après les conférences de presse de l’entraîneur national à 17h15 et des joueurs à 17h45, la sélection effectuera une séance d´entraînement d’une heure de 18h45 à 19h45 sur la pelouse du stade Daimler , site de la rencontre demain soir à 21h00 contre l’Espagne . Elle sera de retour mardi à Schweinfurt pour une reprise du travail à 18h00. Mercredi, les Tunisiens repartiront par avion à destination de Berlin où ils disputeront leur troisième match contre l’Ukraine.



Accord de coopération



M. Abdallah Kaâbi, ministre de la Jeunesse, des Sports et de l’Education physique, effectue une visite officielle dans l’Etat fédéral de Bade Wurtemberg les 18 et 19 juin, sur invitation de son homologue, M. Helmut Rau, ministre de l’Education, de la Jeunesse et du Sport du land de Wade-Wurtemberg.

La visite comprend notamment la signature d’un accord de coopération dans le domaine du sport entre les deux parties.

La cérémonie se déroulera à la maison Mercedes à Stuttgart. Les deux ministres se rendront ensuite au «Dowmler Stadium» pour assister à la rencontre Tunisie-Espagne.



Hamed Namouchi

«On doit retrouver notre football»
De notre envoyé spécial Jallel MESTIRI


L’international tunisien estime que le match face aux Saoudiens fait partie du passé et que le onze national redressera la barre face à l’Espagne


Ressentez-vous encore une frustration après le match face à l’Arabie Saoudite au cours duquel l’équipe de Tunisie avait connu différents scénarios : joie, déception, doute et réaction?

Nous n’avons pas joué sur notre vraie valeur. Et nous n’avons pas trouvé d’explication à cela. Un match sans, ça arrive à toutes les équipes. Nous n’en connaissons pas les raisons. Chacun peut interpréter les choses à sa manière. A tort ou à raison? Mais ce qui est sûr c’est que la prestation de ce premier match ne reflète en aucun cas notre vraie valeur. Nous sommes capables de mieux, de beaucoup mieux et nous l’avons prouvé dans le passé. On ne peut pas juger une équipe sur un match, d’autant plus qu’on sait que ça ne peut pas être notre mode de comportement et encore moins notre rendement sur le terrain.

Et puis, pourquoi ne pas le dire : un point c’est toujours mieux que rien. On ne devait pas se contenter de voir les défaillances. L’on sait qu’on aurait dû jouer mieux. Mais il ne faut pas s’arrêter là. Le temps n’est pas aux reproches et aux regrets. Il faut savoir positiver pour mieux rebondir…

Qu’est-ce qui devrait changer dans l’équipe? De nouvelles considérations tactiques, physiques, mentales?

Nous avons juste besoin de retrouver notre football, notre jeu. Ce n’est pas le côté physique qui nous avait manqué et encore moins l’aspect tactique ou encore le mental. Parfois, il arrive à une équipe d’être très bien préparée, mais de ne pas pouvoir réagir. Le football est ainsi fait. Ça arrive à tous et pas uniquement à nous. Nous aurions, bien sûr, aimé que ce ne soit pas en Coupe du monde de surcroît lors du premier match. Mais voilà, c’est arrivé. Pour autant tout n’est pas perdu. Surtout pas sur un match. Tout reste possible et nos chances sont loin d’être ébranlées. Maintenant, il faudrait oublier tout cela et continuer à jouer, tout en tirant la leçon nécessaire.

Ne pensez-vous pas que l’équipe souffre quelque part d’un manque d’inspiration illustré notamment dans cette incapacité à faire le jeu?

Ce n’est point dans nos habitudes. Nous donnons, en effet, souvent l’impression d’être entreprenants, de gérer et de varier le jeu face à nos adversaires. Nous avons un style de jeu sur lequel nous nous basons et qui prend en considération les dispositions à la fois collectives et individuelles de l’équipe. Celle-ci a souvent évolué en fonction de ses besoins. Les exigences des matches ne sont pas toujours les mêmes. Il y a des priorités qui conditionnent notre comportement sur le terrain. On prend souvent en compte tout ce qui donne à l’équipe sa raison d’être dans le jeu et dans le rendement.

Pourquoi alors ça ne marche pas des fois? Quelque part, il devait y avoir quelque chose qui ne tourne pas rond?…

Cette équipe est capable de tous les exploits. Elle a sa façon de s’exprimer sur le terrain. Mais parfois c’est vis-à-vis d’elle-même qu’il lui arrive de se compromettre. Tout cela, ça fait partie de son existence. On ne peut pas quand même être à 100% parfaits. Il y a toujours une certaine remise en cause dont nous avons constamment besoin.

Vos chances pour la suite de la compétition, comment les voyez-vous et que pensez-vous de l’Espagne?

Nos chances sont bonnes et nullement compromises. Nous sommes encore en Allemagne et nous nous accrochons. D’ailleurs, nous sommes aujourd’hui dans l’obligation de réagir quel que soit le nom de l’adversaire que nous allons affronter. Nous n’avons plus le choix. Nous devrions aller jusqu’au bout, faire le maximum et forcer même les choses. L’Espagne, ou une autre équipe, l’important n’est pas là, mais plutôt dans la nécessité de redresser la barre et de rattraper ce que nous avons raté auparavant.
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